Les réservations sont closes pour cet évènement.
Reprenant le défi fameux de Georges Perec, dont le roman La Disparition (1969) ne compte aucune lettre «e», Laurence Kiehl propose un roman en «langfem», idiome entièrement voué au féminin et imposé par une société qu’elle imagine tombée sous la coupe exclusive du féminisme. Mais l’excès en tout est un défaut, et ce Nouveau Monde clairement dystopique n’est pas forcément plus heureux que «l’autre»…
Entre déconstruction bienvenue des clichés – machistes ou féministes! – et exagération révélatrice (l’un des procédés utilisés pour démasquer les fake news), le roman ose une position outrancière qui interpelle, mais fera aussi grincer quelques dents!
Crédit photo: © D.R.
et recevez toutes les deux semaines ou chaque mois, dans votre boîte mail, l’actualité événementielle de vos librairies préférées ! Retrouvez aussi nos événements culturels partenaires si vous le souhaitez.