François Debluë

«Trente-trois poèmes par temps de pandémie»

Alors même que s’effacent les traces de la pandémie et des contraintes, c’est un poète qui prend la plume pour évoquer, dans un léger brouillard temporel (déjà!), les impressions d’un monde suspendu, entre crainte et irréel, étonnement et frustration.

Dans ce «dimanche permanent», désert et inactif, seule vit l’expression poétique… Un kaddish en quelque sorte, qui tente de faire le deuil à la fois d’un monde d’avant idéalisé et d’une vie hors norme qui fut pesante mais, par certains aspects, nous «manque» presque.

Crédit photo: © Wiktoria Bosc

Payot Lausanne