Caroline Petitat Robet

«Vers l’autre»

Il ne faut pas chercher loin la motivation humaniste, l’empathie, la profondeur qui ont inspiré son roman à Caroline Petitat Robet: ceux qui ont lu Le fils rompu, récit poignant mais lumineux de l’accompagnement vers la mort de son fils, savent le trésor de finesse de sa réflexion.

C’est cependant à la fiction qu’elle confie cette fois le retour sur un chemin à la fois riche et difficile, qui au fil des souvenirs a conduit sa narratrice à se tourner, toujours, Vers l’autre, à se pencher sur son sort et à l’aider, de toute sa foi et de toutes ses forces. Une leçon de vie qui, justement, ne fait pas la leçon, mais partage un regard lucide et serein.

Crédit photo: © D.R.

Payot Montreux