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Tout de ce livre attire l’attention : le nom de Quentin Mouron, que l’on attend toujours avec grande curiosité, la date, qui évoque forcément les attentats parisiens, et Vesoul, à jamais tirée de l’anonymat par Brel…
Le cocktail, on s’en doute, est détonant, iconoclaste et roublard, et l’errance improbable du narrateur et de Saint-Preux à travers les clichés branchés du siècle sont d’un cynisme allègre qui rappelle le style (réputé inimitable !) du Sucre de Georges Conchon.
Quentin Mouron est de retour, et cela ne risque pas de passer inaperçu !
© Fabien Wulff-Georges
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